La pianiste Magnhild Brøske et la flûtiste Marie Guillot se sont rencontrées à l’Ecole Normale de Musique de Paris. Plus précisément, en cours de déchiffrage. Ah, le déchiffrage…Jouer une partition sans travail préalable, sans rien connaître du compositeur, de l’époque, sans avoir le temps d’analyser les différentes indications…Le déchiffrage c’est un jeu ou …une vraie galère ! Alors, forcément, ça crée des liens !
Après l’obtention de leurs diplômes supérieurs et quelques années d’expériences professionnelles variées, elles forment leur duo de musique de chambre, Les échappées, en 2014.
L’aventure commence par du déchiffrage, encore, puis continue avec un vrai travail de chambristes. Les répétitions deviennent des laboratoires où l’on explore les sons, les sens, les phrases, les respirations, les aspirations, pour atteindre les mouvements de l’âme et les harmonies cachées. On joue, on parle, on s’amuse, on s’agace, on improvise, on argumente, on écoute, on s’émeut, on se tait, puis on recommence à chercher. C’est ainsi que Les échappées créent leur son, en cherchant, sans arrêt.
Alors, naturellement, le concert devient une proposition, une hypothèse, une sculpture musicale qui ne sera jamais figée. Le duo livre ses recherches sonores avec une sincérité et un plaisir communicatif. Tel un secret, une découverte éphémère, chaque note est dévoilée au public parfois comme une confidence, parfois comme une question, parfois comme une invitation à se sentir libre.
A Paris, Toulouse, Vannes, Perpignan, mais aussi en Norvège ou en Italie, Les échappées se produisent dans divers lieux et contextes, mais chaque concert est un nouveau chemin dans la musique, une échappée dans le temps.
Après l’obtention de leurs diplômes supérieurs et quelques années d’expériences professionnelles variées, elles forment leur duo de musique de chambre, Les échappées, en 2014.
L’aventure commence par du déchiffrage, encore, puis continue avec un vrai travail de chambristes. Les répétitions deviennent des laboratoires où l’on explore les sons, les sens, les phrases, les respirations, les aspirations, pour atteindre les mouvements de l’âme et les harmonies cachées. On joue, on parle, on s’amuse, on s’agace, on improvise, on argumente, on écoute, on s’émeut, on se tait, puis on recommence à chercher. C’est ainsi que Les échappées créent leur son, en cherchant, sans arrêt.
Alors, naturellement, le concert devient une proposition, une hypothèse, une sculpture musicale qui ne sera jamais figée. Le duo livre ses recherches sonores avec une sincérité et un plaisir communicatif. Tel un secret, une découverte éphémère, chaque note est dévoilée au public parfois comme une confidence, parfois comme une question, parfois comme une invitation à se sentir libre.
A Paris, Toulouse, Vannes, Perpignan, mais aussi en Norvège ou en Italie, Les échappées se produisent dans divers lieux et contextes, mais chaque concert est un nouveau chemin dans la musique, une échappée dans le temps.